Poésies et poèmesCamoin, Chaix, Feissat ainé, 1832 - 384 pages |
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Expressions et termes fréquents
amour arrive aurait avant baisers beau bientôt blanche bois bouche bras bruit brûle caressant chêne cheveux Ciel cieux cœur corps coup cours croix devant Dieu dire doigts doit donne douleurs doux eaux Est-ce eût femme feuilles fils fleurs flots force foudre foule Frappe front grace Hélas heures hommes immense j'ai jeté jeune joie joue jour JUGE jusqu'à l'air l'ame laisse LAURE LÉOPOLD lève lèvres lieu long-temps longs lui-même lumière main malheur matin mère molle monde monts mort mots murmure nuit œil pâle parfums paroles passe paupière pauvre peine penche pensée pèse peuple peut-être pieds plainte plaisir pleurs poids présent presse prêtre qu'à qu'un regards reste rêves rien rois rose s'est s'il saint sais sang sein sent sera seul soir soleil sombre sort souffle tempête terre terrible tête tombe tour travers vague venir vent veux vient visage Vive voile voix Voyez yeux
Fréquemment cités
Page 67 - ... qu'il cause est habituelle : il semble qu'en écoutant des sons purs et délicieux on est prêt à saisir le secret du Créateur, à pénétrer le mystère de la vie. Aucune parole ne peut exprimer cette impression; car les paroles se traînent après les impressions primitives, comme les traducteurs en prose sur les pas des poètes.
Page 33 - Our flag the sceptre all who meet obey. Ours the wild life in tumult still to range From toil to rest, and joy in every change.
Page 369 - ... mort : Voilà , dit-on , ce que c'est que l'homme ! et celui qui le dit, c'est un homme; et cet homme ne s'applique rien, oublieux de sa destinée; ou s'il passe dans son esprit quelque désir volage de s'y préparer, il dissipe bientôt ces noires idées; et je puis dire, messieurs, que les mortels n'ont pas moins de soin d'ensevelir les pensées de la mort, que d'enterrer les morts mêmes. Mais peut-être que ces pensées feront plus d'effet dans nos cœurs , si nous les méditons avec Jésus-Christ...
Page 1 - Je préférerais , de toutes les campagnes , celle de mon pays , non pas parce qu'elle est belle , mais parce que j'y ai été élevé. Il est dans le lieu natal un attrait caché, je ne sais quoi d'attendrissant, qu'aucune fortune ne saurait donner, et qu'aucun pays ne peut rendre. Où sont ces jeux du premier âge, ces jours si pleins, sans prévoyance et sans amertume ? La prise d'un oiseau me comblait de joie. Que j'avais de plaisir à caresser une perdrix, à recevoir ses coups de bec , à sentir...
Page 113 - Rien ne m'a plus donné la juste mesure des événements de la vie et du peu que nous sommes. Que sont devenus ces personnages qui firent tant de bruit? Le temps a fait un pas, et la face de la terre a été renouvelée.